Antoinette Martel

Acton Vale

1933 - 2018

Au CHSLD de la MRC d’Acton, le 15 janvier 2018, est décédée à l`âge de 84 ans, Madame Antoinette Martel, fille de feu Ferdinand Martel et de feu Délia Chrétien demeurant à Acton Vale.

La défunte laisse dans le deuil ses enfants : Louise Fréchette (Franck Nold) et Lucie Denis (Michel Denis), ses petites-filles : Jinny Fréchette, Angie Boulay, Stéphanie Denis et ses petits-fils : Mathieu Dubé, Michaël Denis et ses  arrière-petits-enfants : Samuel et Coralie Denis, Ely et Charlie Pelletier et autres parents et amis. Madame Antoinette Martel a été incinérée au Crématoire Lalime.

La famille de Madame Martel recevra vos condoléances le mardi 6 février à 15 h au Complexe funéraire Lalime & Boisvert, 1166 rue Saint-André, Acton Vale. Une célébration de la parole sera célébrée ce même mardi à 16 h au Complexe funéraire suivie de la disposition des cendres au Columbarium Lalime & Boisvert.

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6 messages reçus

  • Pour vous, je laisse sur cette page l'intégrale de la prière de la Sérénité qui vous a probablement accompagnée dans plusieurs épreuves de votre vie. La Prière de la Sérénité Si, dans ta vie, un jour tu devais pleurer, Te sentant bien seul, loin de ceux que tu as aimés. Dis toi bien qu’il y aura toujours quelqu’un qui te montrera le droit chemin. Écoute ces mots, car moi qui te les dis, je n’ai pas toujours été ce que je suis. J’ai connu bien des pleurs, des paniques et des misères, Alors récite avec moi cette prière. Mon Dieu donne-moi la sérénité, d’accepter toutes les choses que je ne puis changer. Donne-moi le courage de changer les choses que je peux, Et la sagesse d’en connaître la différence. Tu devras aussi te prendre en main, Si tu veux changer ton destin, Laisse de côté les choses qui te détruisent, Tu auras alors de belles surprises. Pour toi, chaque jour deviendra ensoleillé, Ton cœur s’ouvrira à l’amour. Ne vis qu’un jour à la fois si tu veux en profiter, Et tu seras heureux pour toujours. Mon Dieu donne-moi la sérénité, d’accepter toutes les choses que je ne puis changer. Donne-moi le courage de changer les choses que je peux changer Et la sagesse d’en connaître la différence. Quand ma patience est à bout, aide-moi à la retrouver. Apprends-moi à faire face aux difficultés avec calme et sérénité. Lorsque, je suis à court de réponses vives et d’explications intelligentes, Permets que cesse le flot de questions, au moins pendant un court moment. Mon Dieu donne-moi la sérénité, d’accepter toutes les choses que je ne puis changer. Donne-moi le courage de changer les choses que je peux, Et la sagesse d’en connaître la différence. Et quand j’ai l’impression que les journées sont trop brèves pour que je puisse accomplir toutes les tâches qui m’attendent, Fais au moins que je trouve le temps de faire le plus important, le temps d’écouter, le temps d’aimer et le temps de rire aussi. Mon Dieu donne-moi la sérénité D’accepter toutes les choses que je ne puis changer, donne-moi le courage de changer les choses que je peux changer Et la sagesse d’en connaître la différence. Votre gendre Franck Nold

    — Franck Nold
  • Madame Antoinette Martel, Elle était la dernière d’une famille de sept enfants. Sa mère est décédée lors de son accouchement. Suite à ce décès, elle a été élevée par ses deux sœurs : Marie-Blanche et Marie-Anne. Parmi les événements marquants de sa vie, en 1965, elle a dit adieu à son beau-père Antonio, à son père Ferdinand et à son mari Armand Fréchette décédé à l’âge de 37 ans. Selon sa fille Louise, elle ne s’est jamais relevée de ses pertes affectives. Suite au départ de son mari, elle s’est retrouvée seule à élever leurs cinq enfants. Un lourd fardeau qu’elle a eu de la difficulté à relever. Depuis 1984, trois de ses enfants sont décédés : Daniel à l’âge de 23 ans, sa fille aînée Diane en 2006 et son fils aîné en 2014. Elle chantait et dansait avec une toute une passion. Elle avait du plaisir à jardiner et à savourer ses concombres frais. Tout au long de sa vie, elle s’est entourée de plusieurs animaux de compagnie, surtout des petits chiens qu’elle affectionnait. Elle était fière d’avoir donné plus d’une centaine de fois du sang à la Croix Rouge. Elle avait reçu une reconnaissance à cet effet; une pièce qu’elle affichait fièrement au mur. Elle aimait beaucoup ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants. Lors de rencontres familiales, elle a joué son rôle avec tout l’amour qui l’habitait. Elle possédait une force de cœur et elle donnait facilement. Elle laisse à tous ses proches un héritage de force, d’amour et de cheminement continu.

    — Louise Fréchette
  • Son dernier «Je t’aime» L’an dernier, j’ai visité ma mère pour souligner la fête des Mères. Étant atteinte de démence mixte, elle ne savait plus qui j’étais et elle ne communiquait plus. Assise à ses côtés, malgré ces faits, je me plaisais à lui raconter les pages de mon quotidien. Je ne demandais rien, car j’acceptais les deuils qui polluaient ma relation mère-fille. Soudainement, j’ai entendu un son, un bruit si faible que je me suis rapprochée d’elle. Je lui ai dit doucement «Maman, qu’est-ce que tu as dit?». Et elle trouva en elle la force de redire d’une voix tremblante «Je t’aime!» Sans crier gare, sans hésitation, deux énormes larmes ont coulé sur mes joues. Elles étaient pesantes. Et dans mon for intérieur, je savourais ce dernier moment affectif qu’elle m’offrait avec tout son cœur de mère. Sagement, je collais ses mots d’amour pour les conserver dans ma boîte à souvenirs. Et je lui ai répondu «Je sais que tu m’aimes car j’ai relu toutes les lettres que tu m’as écrites tout au long de ma vie». Voyez-vous l’an passé, lors de mes 60 ans, j’ai trouvé le temps de les trier et de les relire. Et grâce à mes lectures, grâce à mon cheminement personnel, j’ai compris que malgré l’absence de ses «Je t’aime», elle m’a toujours aimée. Et en ce 26 janvier 2018, je ferme cette page de mon livre d’histoires en lui disant bien humblement «Maman, je t’aime et je t’aimerai toujours».

    — Louise Fréchette
  • Mes sinceres sympathie a Lucie et famille ,je vous garde dans mes prieres et mes pensees.

    — France Berthiaume
  • Par la présente, nous aimerions remercier tous les membres du personnel du Centre d’hébergement de la MRC d’Acton qui travaillent avec dévotion et professionnalisme pour faciliter le séjour des membres de nos familles. Ma sœur Lucie Denis et moi-même aimerions spécialement remercier les infirmières et les infirmiers pour tous les bons soins prodigués à notre mère durant son long séjour dans votre établissement. Nous sommes conscients que votre travail n’est pas de tout repos. Que serait ce voyage d’amour, sans reconnaître le travail des préposés qui se donnent au quotidien pour améliorer la qualité de vie de nos proches. Merci aux membres de l’administration de s’assurer de répondre aux demandes des familles et de faire le suivi des communications. Merci aux gens qui préparent et qui participent aux activités pour conserver le bien-être mental des usagers. Ce sont des gestes d’amour! Soyez assurés, que de là-haut, notre mère Antoinette Martel, vous envoie un doux sourire habillé d’une grande reconnaissance et d’affection sincère. Lucie Denis (Fréchette) et Louise Fréchette, filles de la défunte vous envoient leur amitié.

    — Louise Fréchette
  • Mes plus sincères condoléances à vous ses deux filles. Vous ne me connaissez pas, mais je me suis occupée de votre mère, lors de son passage au centre de jour. Elle a été une patiente que j'aimais beaucoup, en particulier son beau sourire. Je me souviendrai d'elle comme une femme qui aimait beaucoup le plaisir, la musique surtout. Depuis bientôt 5 ans, je suis à ma retraite et je me souviens d'elle, avec joie, car c'est ce qu'elle dégageait. Gardez d'elle tout ce qu'elle vous a donné de beau et de bon. Le souvenir d'une mère ne meurt jamais, et par ce fait même, on la garde vivante dans nos coeurs.

    — Lucille Labrecque